jeudi 5 décembre 2013

EXTRAITS DE PRESSE

              Anne Cadilhac joue La nuit de la Cucaracha


LAND  Luxembourg 17 09 2013 Nathalie Medernach

Le piano, magistralement joué par Anne Cadilhac, rapproche les deux personnages et les accompagne dans leur chant et à travers leurs souvenirs presque comme s’il y avait une
troisième personne sur scène.


LE JEUDI   JOSEE ZEIMES 19 09 2013

Les comédiennes Anne Cadilhac, piano et chant (Delphine), et Dilia Gavarrete-Lhardit, chant (Dolores), s'adonnent à cœur joie dans une performance pleine de fougue qui fait vibrer la salle. C'est ainsi que le duo réalise son rêve révolutionnaire, car «Si le chanteur se tait, la vie se tait aussi» (Si se calla el cantor,Horacio Guarini).

Luxemburger Wort  20. Septembre 2013

Les deux interprètes, Anne Cadilhac- au piano et même à la trompette-jouet - et Dilia Gavarrete-Lhardit sont Irrésistibles:quel bonheur de les entendre et de les voir chanter, quel beau duo, quel tempérament; leur joie d'être là est si communicative! ( …)
Si elles font rire et sourire, elles font également réfléchir au monde comme il (ne) va (pas), à
 l'importance de l'attention à l'autre(Dolorès sauve Delphine et de leur rencontre surgit un nouveau projet de vie), aux pouvoirs de la chanson et de la poésie aussi pour changer le monde.




TIREZ SUR LA PIANISTE

Kourandart 16 2 2012  Patrick DuCome

Anne  Cadilhac  c’est rire et joie de vivre garantis!

Jouer, c’est sa seconde nature. Anne Cadilhac, trépidante et limpide, maîtrise son piano comme certains possèdent une deuxième langue. Elle a fait ses études à Toulouse et à Marseille puis à Montpellier. Ses longues années en musicologie (Capes) et en interprétation (Prix de Conservatoire de Montpellier) nous font entendre une remarquable pianiste. On adore ses chansons, on rit aux éclats de ses bons mots bien lucides, et, on savoure la virtuose : les accords, les arpèges sitôt développés sitôt cassés, les autres ruptures, les longues enfilades de notes et les rythmes particulièrement prenants (demandez lui de chanter La Tortue, c’est le tube de l’été 2012 !) et les mots toujours des mots, ses mimiques -grosses grimaces qui font même pas peur- on adore sa justesse dans la gestuelle.

Elle a un sens artistique très professionnel, sans démonstration, le piano devenant un véritable acteur ou du moins un comparse, à l’instar des deux musiciens choristes qui l’accompagnent. Serge Gentel et Francis Turetta sont, dans leur façon d’être particulièrement boute-en-train, deux drôles d’oiseaux qui subissent les caprices et les folies de la dame qui joue du piano debout.


Laurent Coudol . Froggydelight  20 11 2011


Avec "Anne Cadilhac chante Tirez sur la pianiste", le spectateur se trouve projeté dans un univers qui traite du sujet féminin à travers des mots parfois crus, des hystéries musicales et une grande lampée d'humour noir.
Les musiques, écrites par Anne Cadilhac, s'orientent vers la variété de qualité avec parfois des consonances jazz en raison de la formation piano-batterie-contrebasse.
Les références à Higelin ou Brigitte Fontaine des années 70 sont revendiquées, mais l'énergie et les paroles très sexuées rappelleraient plutôt une Diane Dufresne trash.
Ce spectacle est drôle, engagé mais aussi mordant et gorgé de sève.

VISIOMAG 10 11 2011

Un univers déjanté et borderline…Folle sans aucun doute, originale sûrement,la Cadilhac délire pendant en peu plus d’une heure, passant d’un thème à un autre, d’une chanson impertinente à un texte insolent, joue du piano debout ou à l’envers. On ne pourra définitivement pas la taxer d’être lisse, consensuelle ou formatée !




NINO FERRER    
"Un talent inénarrable, une pile électrique »
Pariscope

« Pétillante, youp la boum ! »
Le Parisien

            « Magistralement mené... Bravissimo! »
Culture Cie

« Emotion, virtuosité. Un réel plaisir » 
Regard en coulisse

« Une sincérité détonante »
Visiomag

« Un spectacle qui réveille l’esprit d’enfance »

France Catholique

"Un agréable voyage vers le Sud »
Lesbia Mag

CULTURE COMPAGNIE. FRANCK BORTELLE 01 2010

Anne Cadilhac fait revivre Nino Ferrer dans un spectacle fantasque et loufoque, magistralement mené, gérant avec subtilité les différentes phases du chanteur disparu il y a onze ans. Au milieu des tubes, de vraies perles à (re)découvrir grâce à cette artiste diablement « ferrerienne ».
Sans jamais chercher à « faire comme », elle propose de mettre son univers fantasque et loufoque au service de celui de Ferrer (…).Ainsi, jouant autant de sa superbe voix que de ses talents de comédienne et d'imitatrice, Anne Cadilhac va, avec un énorme sens de la dérision, livrer un spectacle drôle et émouvant, ( …) Cette jolie femme au langage fleuri et au verbe non dénué de vérité bonnes à dire colore d’un nouvel éclat toute l’authenticité de cet artiste qui, en août1998, choisit un champ de blé sous le soleil du Lot pour retourner contre soi
l’arme qu’il avait si souvent braquée contre les convenances. Fracassant départ d’un homme pas comme les autres que fait revivre à sa manière une femme peu ordinaire en réussissant à nous insuffler une irrésistible envie de le réécouter.  Bravissimo





31/07/2011 | La Dépêche du Midi
Montcuq. Cadilhac chante Ferrari

Anne Cadilhac: ne pas réduire Nino Ferrer à quelques tubes.
Il fallait s'y attendre, la soirée consacrée à Nino Ferrer (Ferrari de son vrai nom) a fait salle comble, jeudi soir, à Montcuq. Dans un spectacle mis en scène par Jean-Yves Dretzolis, « Z'avez pas vu Nino », la chanteuse Anne Cadilhac apporte un éclairage nouveau et très personnel de l'œuvre de l'artiste. Elle revisite ses chansons, se les approprie, en détourne les rythmes, les chante en italien et les saupoudre de fantaisie et de clins d'œil. À côté des tubes incontournables, « Les cornichons », « Mirza », « Le téléfon », elle fait (re) découvrir une facette moins connue du talent du chanteur, avec la chanson « Justine » qu'elle chante à la première personne. La soirée s'est terminée avec deux mélodies intemporelles, « La maison près de la fontaine », et « Le sud ».


LES SŒURS JACQUES

25 06 2007  LE FIGARO . Bertrand Dicale

Les 3 filles  emmenées par Anne Cadilhac au chant et au piano et aux arrangements, jouant délicieusement de tous les ressorts de la mésentente et de la jalousie sur scène, avec des réglages très précis, dont la drôlerie n’empêche pas que s’installe une belle émotion. Leur plus belle fidélité aux Frères Jacques est de n’avoir essayé de les imiter (... ) Leur jubilation est contagieuse, leur fantaisie recommandable.

 MARIANNE. Marianne Goudet 15 06 2007

Les trois filles créent avec un infini talent la version féminine et pourtant très différente de ce que faisaient les frangins. Grâce à ce spectacle  on (re)-découvre en s’amusant un pan entier du patrimoine de la chanson française.

TELERAMA . 27 06 2007

Ce spectacle salue l’originalité et la créativité des regrettés Frères Jacques repris ici par des femmes. Un nouveau regard sur une œuvre à la poésie hors norme

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire